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QUALITE DES EAUX - POISSONS NIVEAU R - DERNIERE CAMPAGNE
Cette couche référence les dernières mesures du SMG poissons niveau R. L'appréciation des cours d'eau à partir des poissons au niveau R fait l'objet d'une publication dans le cadre du SMG (Schager E., Peter A. et Göggel W., 2004). Les paramètres suivants permettent l'évaluation de l'état des cours d'eau pour les poissons : • composition de l'ichtyofaune et dominance des espèces • structure de la population des espèces indicatrices (classes d'âge, reproduction) • densité de population des espèces indicatrices • déformations et anomalies L'évaluation de chaque paramètre se fait par une notation. Plus la qualité du paramètre considéré est jugée mauvaise, plus le nombre de points attribués est élevé. Les pêches électriques ne sont pas réalisées dans toutes les stations du monitoring, mais dans des stations de référence, ayant des données historiques. Les pêches électriques se font une fois dans l'année, généralement en octobre. La station est parcourue sur une centaine de mètre. La qualification des stations se fait selon les 5 classes d'état écologique du SMG: Notation de 0 à 1, classe 1, état écologique: Très bon Notation de 2 à 5, classe 2, état écologique: Bon Notation de 6 à 9, classe 3, état écologique: Moyen Notation de 10 à 13, classe 4, état écologique: Médiocre Notation de 14 à 17, classe 5, état écologique: Mauvais
MODELE NUMERIQUE DE SURFACE DE CANOPEE - ETAT 2017
Le Modèle Numérique de surface de Canopée (MNC) représente la surface au sol recouverte par le feuillage des arbres. Cette surface peut être utilisée pour calculer l'indice de canopée en % d'un territoire afin d'en évaluer le degré d'arborisation. Cette donnée a été produite à partir de nuages de points LiDAR acquis en février 2017 et d'une densité de 20-40 pts/m2. La production s'est déroulée en 4 principales étapes : 1) Rasterisation du nuage de points LiDAR afin de créer un Modèle Numérique de Hauteur de canopée (MNHC) 2) Vectorisation du MNHC (pixels à 3m et plus de hauteur) afin de créer le MNC 3) Optimisation du rendu (élimination des polygones de moins de 2.5 m2, simplification des contours) 4) Nettoyage manuel des polygones ne correspondant pas à du feuillage et issus d'une mauvaise classification du nuage de points LiDAR de départ. Le produit final représente donc la surface au sol recouverte par le feuillage des arbres ayant au moins 2.5 m2 de surface de canopée à au moins 3m de hauteur à la fin du mois de février 2017. Il couvre tout le territoire du Canton de Genève.
BATIMENTS PROJETES
Les bâtiments projetés représentent l'assiette des futures constructions ou transformations pour lesquelles une autorisation de construire à été délivrée. Après construction et dépôt du dossier de cadastration ces objets sont archivés (voir couche "Historique des bâtiments hors-sol et sous-sol" attribut TYPE_ORIGINE Projet).
CADASTRE TECHNIQUE DU SOUS-SOL (CTSS) - GEOTECHNIQUE SURFACE
Le cadastre technique du sous-sol (CTSS) a pour but de recenser et reporter l'ensemble des objets des canalisations, des constructions et des accessoires à la construction, occupant le sous-sol privé et public de facon permanente, et ne figurant ni dans le cadastre officiel, ni dans les cadastres spécifiques des services publics. Le but du cadastre technique est donc de permettre une meilleure maîtrise du sous-sol et de renseigner utilement les requérants et professionnels sur son occupation. Liste des objets répertoriés dans cette classe d'entités: - zone d'influence - zone de pieux de fondation - zone de micro-pieux - autres
CADASTRE DES EVENEMENTS D'INONDATION PONCTUEL
Le cadastre des événements d'inondation représente un historique non-exhaustif des évènements d'inondation du canton de Genève, dans l'état des connaissances et de recherches actuelles. Il est constitué des deux couches suivantes : 1. Les inondations ponctuelles, qui font chacune référence à un évènement unique et localisable 2. Les inondations généralisées, dont l'enveloppe est définie selon les diverses sources disponibles. Dans certains cas, la localisation de ces évènements peut s'avérer approximative. Seuls sont recensés les évènements d'une certaine importance, qui ont occasionné des morts ou des blessés, qui ont provoqué des perturbations de trafic, qui ont causé des dégâts à des bâtiments ou à des infrastructures présentant un caractère exceptionnel. Chaque évènement est qualifié en fonction de l'impact de l'inondation selon un indice de gravité croissant 1, 2 ou 3. Les événements de "gravité 1" regroupent essentiellement les inondations qui n'ont engendré aucun dégâts matériels ou que de très faibles désagréments à la communauté. On retrouve les inondations de champs, de chemins pédestres. On retrouve tout de même les inondations de caves qui n'ont qu'une gravité succincte. Les événements de "gravité 2" regroupent les inondations ayant occasionné de faibles désagréments comme des coupures de route à faible fréquentation ou ayant inondé des bâtiments ne correspondant pas à des lieux de vie tels des restaurants, des magasins. Les événements de "gravité 3" recensent les inondations ayant engendré des désagréments sur des axes principaux de déplacements, qui ont pu toucher de facon significative les habitations et des endroits sensibles comme des écoles ou des hôpitaux. Les événements générant un risque pour l'Homme ou une évacuation de la population, sont aussi intégrés à cet indice.
AGGLO - AIRES URBAINES - INSEE 2010
AGGLO - AIRES URBAINES SELON INSEE EN 2010 Délimitation des aires urbaines selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Une aire urbaine, selon l'INSEE, est un ensemble de communes, d'un seul tenant et sans enclave, constitué par un pôle urbain (unité urbaine) de plus de 10 000 emplois, et par des communes rurales ou unités urbaines (couronne périurbaine) dont au moins 40 % de la population résidente ayant un emploi travaille dans le pôle ou dans des communes attirées par celui-ci. Cette classe d'entités est créée à partir de la classe d'entités "AGGLO_COMMUNES", par fusion des "Codes aire urbaine INSEE". Les deux représentations ("Aire urbaine INSEE" et "Catégorie commune INSEE") ne doivent pas être utilisées séparément.
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE - SONDES 200 M
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 200 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 200m). Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant. De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que : - la protection des nappes phréatiques (eau potable) - l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...) - la possibilité d'extraction de matériaux. - le potentiel géothermique. Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
GEOSCHEMATIQUE DE L'ASSAINISSEMENT - OUVRAGES DE TRAITEMENT
Les ouvrages de traitement de la géoschématique de l'assainissement représentent les stations d'épuration des eaux usées (STEP), publiques ou privées. La précision géométrique n'est pas comparable à celle du cadastre du réseau d'assainissement des eaux (CRAE) et l'utilisation de ces plans ne fait pas référence pour déterminer les conditions exactes de raccordement d'une construction existante ou projetée. Ces objets font également partie du produit "Géoschématique de l'assainissement".
AUTORISATIONS DES PRELEVEMENTS D'EAU DANS LE LAC ET LES COURS D'EAU
Tous les prélèvements d'eau dans les cours d'eau, que ce soit pour usages hydrothermique, industriel ou agricole, sont soumis à une autorisation ou à une concession. Les éléments constituants cette couche représentent la position de ses autorisations et permettent un lien vers une fiche descriptive du point de pompage et du point de rejet des eaux, à l'exclusion des usages hydrothermiques: barrages du Seujet, de Verbois et de Chancy-Pougny sur le Rhône, Vessy sur l'Arve ainsi que les micro-centrales sur la Versoix (Vieille Bâtie / Baumgartner et Richelien / Estier).
PORTRAIT DES SITES DU RESEAU GEOS
Le réseau GEnevois d'Observation des Sols (GEOS) a pour objectif de réaliser un monitoring à long terme de l'évolution des teneurs en polluants du sol et plus généralement de sa fertilité. Le réseau est constitué de 103 sites de prélèvements représentatifs du territoire genevois. On y réalise tous les cinq ans des prélèvements à une profondeur de 20 cm depuis la surface. Les analyses de monitoring réalisées sur ces prélèvements portent notamment sur qualité des sols (pH, matière organique (MO) et rapport MO/Argile). Des analyses permettant la caractérisation des sites sont réalisées une fois sur chaque site (granulométrie, nutriments, calcaire et capacité d'échange cationique (CEC) effective). Les sites d'échantillonnage sont fixes, les prélèvements sont effectués exactement au mêmes endroits d'une campagne à l'autre. Ceci permet d'évaluer l'évolution des différents paramètres analysés au cours du temps, en s'affranchissant de leur possible variabilité spatiale. De plus, les sites sont représentatifs de l'occupation des sols du canton. Ils ont été répartis dans huit catégories ans un souci de proportionnalité par rapport à l'occupation de la surface totale des sols du Canton: Grandes Cultures (GC), Cultures Maraîchères (CM), Viticultures (VI), Arboriculture (AR), Prairies (PR), Forêts (FO), Parcs et Jardins (PJ) et Sites Naturels (SN). La couche GOL_GEOS_PORTRAIT contient les résultats d'analyses de caractérisation des 103 sites actifs. Ce sont les analyses qui ne sont réalisées qu'une fois par site lorsque le site entre dans le réseau GEOS. Les analyses concernent la granulométrie du sol, les taux de nutriments présents dans le sol, le carbonate, la capacité d'échange cationique effective et la capacité d'échange cationique potentielle ainsi que toutes les composantes liées à la CEC. La CEC effective est une analyse qui a été introduite plus récemment pour remplacer la CEC potentielle. Les sites les plus anciens du réseau ont fait l'objet d'un second prélèvement pour déterminer la CEC effective. On n'analyse plus la CEC potentielle pour les sites qui entrent dans le réseau depuis 2010. GEOS a été instauré en 1990 par le Laboratoire Cantonal d'Agronomie de Genève aujourd'hui rattaché à la Hate Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA), dans le Groupe Sols et Substrats. Des prélèvements ont eu lieu en 1990 (campagne 1990-1994), 1995 (campagne 1995-1999) et 2000 (campagne 2000-2004). En 2010, le GESDEC (Service de Géologie, Sols et Déchet) mandate officiellement le groupe Sols et Substrats de HEPIA pour remettre en oeuvre le suivi du réseau GEOS dans le cadre d'application de l'Ordonnance fédérale sur les atteintes portées aux sols (OSol). Deux campagnes ont depuis été réalisées (de 2010 à 2016 puis de 2017 à 2022).